Dienstag, Mai 16, 2006

QUIZZZ !!!

Au cas où j'aurais oublié d'en prévenir certain(e)s... ;-p

http://www02.quizyourfriends.com/linkquiz02.php?quizname=060503103228-152579

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Samstag, Mai 06, 2006

WHO CARES !

Lorsque ça déprime, ça peux vraiment débloquer, une fille. Période dépressive depuis quelques temps oblige, en voici la preuve - non (???) - officielle - ...
Encore une preuve de son inconsistance? Absence de quoi que se soit, mais absence de tout. Difficile de citer le plus désagréable : est-ce le dénis, justement, ou l'absence d'un tout, de ce tout, ou l'impression d'être la personne la plus conne au monde, je cite la-personne-qui-un-jour-a-cru-que-ça-pouvait-marcher... Rester dans l'incertitude?
Mieux vaudrait se décider avant que ça ne dérape.
Car voilà une chose qui dérapera forcément.
Pourquoi n'y a-t-il que dans les (mauvais?) films que "ça" marche?
Est-ce trop demander, dans la VRAIE vie? sans doute, oui.
Un moment de vie en perdition n'est jamais agréable.
Au moins, cette fois ça va. Pas de coeur brisé dans la machine. Je me demande tout de même ce qui aurait mieux valu : au choix, peut-être l'une des lettres que l'on peut trouver sur http://www.youdontneedlove.com/ ??? aïe, ça aurait fait mal.
Mais au quel des deux le plus?
Tiens, ça me rappelle une camarade de classe, en 5ème, qui venait d'être quittée par son "amoureux" - & pourtant, ils l'étaient l'un de l'autre - & qui a fondue en larmes en plein cours, pendant un contrôle d'histoire. Inutile de préciser qu'elle a eu 0 à ce contrôle-là. & la prof, très compréhensive & un tantinet mère-poule avec certain(e)s d'entre nous, a vite compris quand elle a vu la mine compatissante de bien des filles de la classe, ou encore la mine déconfite de ses amies. J'en sais quelque chose, j'en faisais partie.
& puis, "leur histoire", c'était quand même autre chose d'un truc qui dure deux jours, ou bien encore des gens qui ne se connaissaient absolument pas & s'embrasse une fois, juste assez pour trouver à dire à la face du monde "oui, j'ai quelqu'un" ou "oui, on sort ensemble". Quelles foutaises!
Marre des histoires qui ne durent pas.
Si encore on s'amusait pendant ces quelques instants.
Même pas.
Marre des conneries adolescentes qui ne se transforment même pas en coup du soir.
Une chose est sûre, s'il y a deux ans, c'était du genre : les mouchoirs éparpillés sur le sol seuls témoignent de mon désespoir. Il fallait mordre la couverture pour ne pas crier, il fallait espérer que le coeur ne lâcherait pas. Il fallait trouver un espoir auquel se raccrocher, & ce n'était pas chose facile. Je me suis allongée sur mon lit, la tête dans le vide au sens propre, la tête dans le chaos au figuré. Un esprit torturé par des ombres. Je m'accrochais aux barreaux pour ne pas glisser vers un néant avide de m'engloutir toute entière. Comme c'est étrange de regarder dans le vide. En ce jour du 8 mars, je me suis faite funambule & ai profondément espéré que le fil ne cèderait pas. Par moment j'ai tangué. Par moment j'ai eu le vertige, mes yeux se sont troublés, ils brûlaient tant, la tête m'a tourné, & là, ça devenait carrément dangereux. Je cherchais la main qui me rattrapait toujours. Elle variait selon les jours. J'espérais seulement qu'elle serait encore là le lendemain. & après demain. & après après-demain?
Car lorsque tout devient flou, c'est irrémédiablement la chute.
Alors j'ouvre le plus grand possible mes yeux noyés dans le lit de la mélancolie.

Aimable petite conne.

Cette fois-ci, ce ne sera pas le cas. Je ne veux pas être comme ça.
Trop nombreuses sont déjà celles qui se morfondent sur ce qu'elle n'ont plus.
Mais il-faut-se-tourner-vers-l'avenir-&-garder-le-sourire-coûte-que-coûte.
Faire contre mauvaise fortune bon coeur, en sorte.
Conclusion, radicalement parlant - j'avoue, le côté manichéen de la chose n'est pas non plus le meilleur parti à prendre, mais... - : autant se morfondre sur ce que l'on a pas. Au moins, on ne sait pas ce que l'on perd.

Donnerstag, Mai 04, 2006

Malheurs & boules de gommes...

Après une telle attente, on est en mesure de vouloir obtenir un "p'tit quelque chose". C'est tout de même par demander la lune que de souhaiter une certaine présence, non? Lorsque c'est ENFIN - & je pèse bien le mot - possible, il y a toujours quelque chose qui ne va pas... quelqu'un qui vous dérange au mauvais moment, un téléphone qui sonne, le temps qui se refroidi brusquement, la pluie...
C'est bien simple, je vis dans l'absence. Absence d'intérêt. Absence de sentiments. Absence d'échanges, de pour-parlers, de dialogue. "But true love doesn't exist". Telle sera ma nouvelle devise, puisque le sempiternel & tant banal Carpe Diem n'est visiblement pas à l'ordre du jour ; pas pour moi, en tout cas.
C'est pourtant terrible d'attendre, de se tendre vers quelqu'un qui n'en fait qu'à sa tête, refuse & déjoue les compromis. C'est dur aussi. Mes nerfs avaient décidément bien besoin de ça.
Puis arrive la diversité. Des horizons nouveaux.
Mais je sais que je ne dois pas. Non pas par déontologie, l'avis des gens, ma conscience... ou mon absence de conscience. Mais ça aussi, c'est mon problème, & uniquement le mien.
De là à jouer sur plusieurs tableaux, il n'y a qu'un pas. Par défaut d'honnêté, ou de cran peut-être, je ne puis cependant m'y résoudre.
Aïe, la veine romantique me guette, mais que m'arrive-t-il?
C'est peut-être ça, en fin de compte. A trop attendre d'une certaine personne ; à trop lui chercher d'excuses pour un cas X ou Y, on fini par rater de sacrées occasions.
& je sais de quoi je parle.
Rien que pour ça, j'en suis désolée.
Ouvrir les yeux, une fois la tête sous l'eau, couler, se noyer.
La fin d'une désillusion, avec un sale goût d'amertume. Un goût de gifle dans la gueule, en quelque sorte.
Encore un apprentissage raté de la vie, en sorte.
C'est dommage, cela aurait pu être bien.